Gagnez votre combat
contre l'anxiété

accompagné.e par un psychologue spécialisé

Ne serait-il pas formidable d’avoir une vie à peu près sereine, comme celle des autres ?

De pouvoir transiter les situations les plus courantes sans se monter la tête ?

D’être optimiste face aux contrariétés quotidiennes et de prendre plus de choses avec légèreté ?

 

Mais comment faire, quand le monde vous terrifie, quand la moindre pression vous met dans tous vos états, quand votre perfectionnisme est démesuré et que votre estime de vous-même tombe au sol ?

 

Vous en êtes fatigué.e, vous en avez marre.

 

Vous voudriez tout simplement que cela aille mieux après une bonne nuit de sommeil, mais le lendemain… rebelote !

 

Vous faites, donc, partie du 20 % de la population qui est touché par des troubles anxieux modérés ou sévères. Votre combat est lourd, car peut-être les vécus suivants sont également les vôtres.

Corps et tête en crise

Les crises d’angoisse, cela vous dit quelque chose ?
Oui, ces épisodes où l’anxiété prend votre corps en otage.
Quand vous croyez que vous allez mourir – tellement votre cœur bat vite, vous n’arrivez plus à respirer, votre poitrine est complètement resserrée, vous avez la boule au ventre, des tremblements…
Enfin, tout un éventail de réactions qui seraient beaucoup plus cohérentes s’il y avait quelqu’un en train de vous pointer avec une arme à feu. Sauf qu’il n’y a personne et ça vient d’on ne sait pas où.

La honte et la culpabilité

Et puis, il y a le regard de vos proches.

Vous préférez ne rien laisser transparaître de votre état, afin d’éviter les réflexions irréfléchies du genre :

« N’exagères pas, ta vie est super ! Tu n’as aucune raison d’aller mal ».

Non, votre entourage n’est pas forcément malveillant : cela relève plutôt de l’incompréhension. Et néanmoins, la situation vous oblige à faire semblant que tout va bien et que vous gérez. Sinon, c’est la honte devant vos amis, votre famille.

Ou la culpabilité secrète d’avoir « des faux problèmes ». Après tout, vous dit-on, l’anxiété devrait se contrôler et se guérir en se forçant un peu, n’est-ce pas ?

Sauf que – vous le savez – ce n’est pas vrai.

Les situations intenables

Parfois, l’anxiété a des conséquences désastreuses sur votre travail, sur vos études, sur votre vie privée.

Vous êtes tellement dans les sensations d’insécurité, d’appréhension, d’attente du danger et de stress envahissant, que cela vous empêche de faire vos activités habituelles.

Vous avez, donc, créé un système pour ne pas ressentir l’angoisse.

Un système qui peut aller très loin. Comme arriver au boulot deux heures avant, pour être sûr.e de trouver une place où se garer à proximité. Ou s’inventer des fausses excuses, pour que les autres ne décèlent pas le motif de vos absences en journée, en soirée. Vous faites tout pour vous abstenir de montrer vos peurs « irrationnelles ».

Le problème, c’est que cela vous épuise. Vous y consacrez tellement de temps et d’énergie…

Est-ce qu’il n’y aurait pas d’autre solution ?

Une lueur d'espoir

Je m’appelle Miguel SIERRA, psychologue clinicien et docteur en psychopathologie.

 
Depuis des années, des gens comme vous viennent me consulter.
Ils se sentent perdus, à bout.
Parfois, c’est leur médecin qui leur a dit d’aller voir un psy, en complément d’un traitement anxiolytique ou à la place de celui-ci.
 

Mes patients portent plusieurs diagnostics : trouble panique, trouble anxieux généralisé, agoraphobie, phobie spécifique, phobie sociale,  anxiété de séparation, trouble obsessionnel-compulsionnel (TOC), etc. Ce sont des mots techniques pour se comprendre entre soignants. Mais la vérité sur qui vous êtes ne gît pas là. Donc, j’essaye de la découvrir, avec votre aide.

 

Je propose une première rencontre. De nos jours, ça se passe très bien en distanciel, avec une plateforme dédiée et surtout sécurisée pour garantir des échanges confidentiels. Ou à l’ancienne, au cabinet, quand vous pouvez venir sur Rennes.
 

À partir de l’exploration détaillée de vos symptômes et de votre histoire personnelle, je lance une proposition d’accompagnement psychothérapeutique.

Nous travaillerons:

  • soit sur le moyen terme (autour de 10 séances) pour une ré-équilibration de votre quotidien,
  • soit sur un plus long terme pour une restructuration de votre projet de vie.

Parce que – oui !– maintes fois l’anxiété n’est que la pointe de l’iceberg.

 
La thérapie n’est pas toujours facile, mais cela peut changer votre situation une bonne fois pour toutes.
 
C’était le cas pour Pascal. Lisez attentivement son témoignage vérifié :
 

Je remercie Monsieur Sierra. Grâce à lui et avec lui j’ai, séance après séance, pu cerner et travailler sur ce qui me perturbe depuis fort et surtout trop longtemps. Je suis sorti de ce virage engagé qui petit à petit mais fatalement m’entraînait vers le sol. Ses interventions distillées, ses remarques parfois incisives mais toujours bienveillantes infusent en moi si bien qu’aujourd’hui, rassuré, je vole à nouveau de mes propres ailes et surtout j’y ai repris goût.
Durant ce travail j’ai apprécié sa disponibilité, sa ponctualité, sa patience, sa gentillesse et au final son professionnalisme. Je n’ai qu’un regret : ne pas avoir osé pousser sa porte plus tôt.

Pascal W

Ainsi vous et moi, nous allons nous mettre au travail.

Pour que vous (re)trouviez du plaisir à vivre et à être vous-même.

Si vous voulez gagner votre combat contre l’anxiété, alors prenez rendez-vous sans tarder.

Foire aux questions

Un psychiatre est un médecin spécialisé dans les troubles psychiques : il peut donc prescrire des médicaments pour stabiliser les symptômes invalidants des affections mentales. Un psychologue clinicien, en revanche, est un professionnel de l’écoute : il ne prescrit pas de médicament mais rend possible un travail de parole dont le patient a besoin pour dépasser sa souffrance subjective et son malaise psychique.

En France, les psychologues exercent leur activité libérale dans un cadre légal incluant leur enregistrement auprès de l’Agence régionale de santé (ARS) et l’obtention d’un numéro ADELI .

Miguel Sierra est enregistré sous le numéro ADELI 359316411.

Le dispositif « MonPsy », opérationnel depuis le mois d’avril 2022, a été dénoncé et boycotté par la plupart des syndicats et des collectifs de psychologues. Car il est contraire à l’éthique professionnel des psychologues et maltraitant pour les patients qui relèvent de ses critères restrictifs.

En effet, il est fort probable que votre cas ne relève pas de ce dispositif, qui concerne uniquement le 0,5 % de la population en France.

C’est pourquoi, nous avons décidé ne pas y adhérer. Nos consultations restent, de ce fait, à la charge du patient.

Posez tout de même la question du remboursement hors-MonPsy à votre mutuelle : il y en a qui remboursent une partie des séances.

Déjà si vous êtes sur cette page, c’est que vous souffrez à cause de vos symptômes et que vous vous êtes rendu compte de ne plus pouvoir avancer tout.e seul.e.

Il y a, donc, des fortes chances que la psychothérapie soit faite pour vous.

Si vous hésitez encore, veuillez nous contacter en utilisant l’icône de messagerie qui s’affiche en bas à droite. À vous de jouer pour récupérer votre santé mentale et votre tranquillité !